Une chronologie sur le Blanchiment de l’identité autochtone et l’extinction des Droits intrinsèques

Malgré l’établissement colonisux européens depuis 1534, 229 ans se sont écoulées sans législation de l’identité autochtone.

Nous avons tendance à nous référer à la loi constitutionnelle de 1867 comme étant la principale loi qui aura permi au gouvernement d’imposer le statut d’Indien, de gérer les terres des réserves et les fonds communautaires.

Mais l’intention de mettre fin aux droits des Peuples autochtones aura débuté 104 ans avant la Loi sur les Indiens.

Voici la chronologie:

1763: La proclamation royale. Proclamée «Magna Carta indienne». Elle garantissait certains droits et protections et établissait comment la Grande-Bretagne pouvait acquérir des terres.

1850: Loi pour une meilleure protection des terres et des biens des Indiens du Bas-Canada. Sont inclus tous les descendants de ces personnes, les non-Indiens qui «se sont mariés avec de tels Indiens», les personnes dont les parents étaient considérés comme des Indiens et «toutes les personnes adoptées par eux»

1857: La cinquième législature de la province du Canada adopte l’Acte pour encourager la civilisation graduelle des tribus sauvages en cette Province. Tout Indien qui sait lire ou parler anglais ou français, n’a aucune dette et qui est de bonne moralité, est considéré comme une «personne morale» et «civilisé» aux yeux du gouvernement britannique.

1869: l’Acte pourvoyant à l’émancipation graduelle des Sauvages. Cette définition plus restreinte de qui était considéré comme un Indien. Seules les personnes d’un quart de sang indien pouvaient être reconnues indiennes.

1870: Loi sur le Manitoba. Les particuliers résidant à proximité de la ville de Winnipeg actuelle se sont vus offrir Scrip, un billet à ordre donnant à chacun une propriété privée de 64 hectares en échange de leur titre foncier indien.

1876: Loi sur les Indiens. Destinée à consolider toutes les ordonnances précédentes visant à mettre fin à la culture des Premières Nations en faveur de l’assimilation à la société euro-canadienne. Une grande partie de la loi relative à l’identité et aux exclusions fondées sur le sexe a depuis été abrogée et la loi a fait l’objet de plusieurs modifications.

Tous les descendants des personnes qui ont été exclues par l’une de ces lois restent victimes d’injustices historiques du fait de leur colonisation. Nous sommes notamment empêchés d’exercer nos droits au développement conformément à nos propres besoins et intérêts, et notre droit à l’autodétermination est refusé.

Baptêmes MITIF & MITIVE Baptisms

 

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MARIE JOSEPH MITIVE  le quatre avril mil sept cent quatre vingt trois par moy, prêtre soussigné de l’agrément de monsieur le curé a été baptisée Marie Joseph, née aux pays d’en haut de père français et de mère Sauvagesse agée de onze ans et trois mois, présentée par le Sr Charles L’AVOINE CHEVALIER. Le parrain a été Mr. Henry Nicolas CATIN, curé de St-Cuthbert et la marraine a été Marie Joseph DÉNOMMÉE femme d’Étienne FRAPPIER qui a declaré ne savoir signer ainsi que le dit Charles L’AVOINE de ce requis.
the year 1860, september 7th by me, undersigned priest was baptized Michel, aged four years and three weeks and born in the Upper Country, of Michel Belhumeur Voyageur currently in this parish who presented himself and a mitive. The godfather Pierre Martin signed. The godmother Thérèse Charron -Payet declared not to be able to sign as well as the father of this (?) Pouget
MICHEL BELHUMEUR L’an mille huit cent six, le sept septembre par moi, prêtre soussigné a été baptisé Michel, agé de quatre ans et trois semaines et né aux paix d’en Haut de Michel BELHUMEUR Voyageur actuellement en cette paroisse qui a présenté lui-même et d’une mitive. Le parrain Pierre Martin a signé. La marraine Thérèse Charron -Payet a declaré ne savoir signer ainsi que le père de ce (?) Pouget

 

nineteen October, one thousand seven hundred and seventy-nine by the undersigned priest, was baptized Marie-Angélique, three years old, mitive belonging to Louis GUIBEAU, son. The godfather was Antoine Guibeau and the godmother Guibeau who said they did not know what to sign. Pouget ptre
MARIE-ANGÉLIQUE MITIVE Le dix-neuf octobre mil sept-cent soixante dix neuf par moy prêtre soussigné a été baptisé Marie-Angélique agée de trois ans, mitive appartenant à Louis GUIBEAU fils. Le parrain a été Antoine Guibeau et la marraine Guibeau qui ont déclaré ne savoir signe de ce requis. Pouget ptre
On February 4th, one thousand seven hundred and eighty-two by the undersigned priest was baptized CHARLOTTE MITIVE, aged about eight years, belonging to Charles LAVOINE dit CHEVALIER. The godfather was Jean-Baptiste COUTU and the godmother Marguerite LAVOINE dit CHEVALIER wife of Jacques LESAGE who declared not knowing how to sign this required. Pouget ptre
CHARLOTTE MITIVE Le quatre février mil sept cent quatre-vingt deux par moy prêtre soussigné a été baptisée CHARLOTTE MITIVE agée d’environ huit ans appartenant à Charles LAVOINE dit CHEVALIER. Le parrain a été Jean-Baptiste COUTU et la marraine Marguerite LAVOINE dit CHEVALIER femme de Jacques LESAGE qui ont déclaré ne savoir signer de ce requis. Pouget ptre
On September 29, one thousand seven hundred and eighty-two by the undersigned priest was baptized LOUIS MITIF born in the Pays d'en Haut, aged three years owned by Louis THIVIERGE the godfather was Antoine CARDRON dit ST-PIERRE and the godmother Marguerite VAUDRY woman of Pierre ETHIER who declared not to know signed of this required - Pouget ptre
LOUIS MITIF Le vingt-neuf septembre mil sept cent quatre vingt-deux par moy prêtre soussigné a été baptisé LOUIS MITIF né au Pays d’en Haut, agé de trois ans appartenant à Louis THIVIERGE le parrain a été Antoine CARDRON dit ST-PIERRE et la marraine Marguerite VAUDRY femme de Pierre ETHIER qui ont déclaré ne savoir signé de ce requis – Pouget ptre
The third of October, one thousand seven hundred and eighty-four by the undersigned priest, was christened NICOLAS, born in the upper country of a CANADIAN father and mother SAUVAGESSE belonging to NICOLAS MONTOUR resident in the said upper country, already three years old and presented by Joseph FAGNAN the godfather was Antoine DÉSROSIERS and the godmother Elizabeth PAGÉ who with the presenting declared not knowing to sign this (?).
NICOLAS MITIF MONTOUR Le trois octobre mil sept-cent quatre vingt quatre par moy prêtre soussigné a été baptisé NICOLAS, né aux pays d’en haut de père CANADIEN et de mère SAUVAGESSE appartenant à NICOLAS MONTOUR résident aux dits lieux d’en haut, déjà agé de trois ans et présenté par Joseph FAGNAN le parrain a été Antoine DÉSROSIERS et la marraine Elizabeth PAGÉ qui on avec le présentant déclaré ne savoir signer de ce (?enquis).
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GUILLAUME MITIF L’an mil huit cent sept le quatre octobre par moi prêtre soussigné a été baptisé GUILLAUME agé de six ans né aux pays d’en haut et présenté par Pierre MAILLOUX au nom de JEAN MCGILIVRAY. Le parrain Joseph BONDY écuyer et la marraine Marie Stuar Mcferlan ont signé et le présentateur
The year 1832, the tenth of August, by I, the undersigned priest, was a Baptist, about twelve years old, born in the upper country of Antoine COLIN and a SAUVAGESSE, presented by Joseph Ambroise Olivier, farmer of this parish to whom Colin said it entrusted him for his Christian education. His godfather Pierre OLIVIER could not sign. The godmother Rosalie DEROSIER wife of the aforementioned Joseph Ambroise OLIVIER to sign with him * baptized Jean;
JEAN-BAPTISTE MITIF L’an mil huit cent-six le dix aoust par moi prêtre soussigné a été *baptiste agé d’environ douze ans né aux pays d’en haut d’Antoine COLIN et d’une SAUVAGESSE, présenté par Joseph Ambroise Olivier, cultivateur de cette paroisse a qui le dit Colin l’a confié pour son éducation chrétienne. Son parrain Pierre OLIVIER n’a pu signer. La marraine Rosalie DEROSIER épouse du susdit Joseph Ambroise OLIVIER a signer avec lui *baptisé Jean;
MAXIME MITIF
MAXIME MITIF L’an mil huit cent sept le quatre décembre par moi prêtre soussigné a été baptisé Maxime agé de quatorze ans, né aux pays d’en haud de père CANADIEN et de mère SAUVAGESSE, présenté par Alexis PIET au nom de Louis DUCHÊNE dit LAPRAIRIE. Le parrain Augustin COTTIN et la marraine Marie-Joseph PARENT épouse du dit Cottin ont signé.
PIERRE MITIF
PIERRE MITIF L’an mil huit cent sept le trois novembre par moi prêtre soussigné a été baptisé PIERRE agé de douze ans né aux pays d’en haut d’un père EUROPÉEN et d’une mère SAUVAGESSE, présenté par PIERRE MAILLOUX marchand Voyageur au nom de WILLIAM MCGILIVRAIE (Hgt?) Le parrain CHARLES PIET n’a su signer; la marraine MARIE ANNE HUBARDEAU GRENET a signé avec le présentateur.
ANTOINE, MARIE-JOSEPH ET ROSALIE MITIFS
ANTOINE, MARIE-JOSEPH, ROSALIE MITIFS L’an mil huit cent huit le vingt-deux octobre par moi, prêtre soussigné ont été baptisés ANTOINE, agé de six ans, MARIE-JOSEPH, agée de deux ans et ROSALIE, agée d’un an, nés aux pays d’en haut de père CANADIEN et de mère SAUVAGE, présentés par François MORIN de cette paroisse arrivant des pays susdits. Le parrain et la marraine du garçon ont été AMABLE CHARON et GENEVIÊVE COTTIN PIET, laquelle a signée; ceux de MARIE-JOSEPH ont été ANTOINE MATTHE et THÉRÊSE ROBILLARD MATTHE qui n’on su signer ainsi que PIERRE GALLIEN (sp?) et MARIE-JOSEPH LEBLANC, parrain et marraine de ROSALIE et le présenteur de ceux-ci
JEAN-BAPTISTE MITIF
JEAN-BAPTISTE MITIF L’an mil huit cent huit le vingt-neuf février moi prêtre soussigné a été baptisé JEAN-BAPTISTE, agé de douze ans né aux pays d’en haut d’un père CANADIEN et d’une mère SAUVAGESSE, présenté par FRANÇOIS MANDEVILLE. Le parrain AMABLE CHARRON et la marraine MARIE-JOSEPH LAURENCE ENAUD ont déclaré ne savoir écrire.
ANNE-LOUISE MITIVE
ANNE-LOUISE MITIVE L’an mil huit cent neuf le vingt huit novembre par moi, prêtre soussigné a été baptisée ANNE-LOUISE agée de six ans née aux pays d’en haut de père CANADIEN et mère SAUVAGESSE présenté ici par Jean-Baptiste FALARDEAU qui ne sait écrire. Le parrain Louis Marie OLIVIER écuyer et la marraine Marie-Anne FALARDEAU qui ont signé.
JEAN-BAPTISTE MITIF
JEAN-BAPTISTE MITIF L’an mil huit cent onze le trente septembre par moi prêtre soussigné a été baptisé JEAN-BAPTISTE agé de trois ans né aux pays d’en haut de père CANADIEN et mère SAUVAGE, présenté par Jean-Baptiste DUBORD dit LATOURELLE. Le parrain Joseph DUBORD et la marraine Marie-Angélique GILBERT ont déclaré ne savoir écrire, ainsi que le présentateur
ANNE MITIVE, SUSANNE MITIVE, MAGDELEINE MITIVE
ANNE MITIVE ANGLO-CANADIENNE SAUVAGE L’an mil sept cent quatorze le vingt six juillet je soussigné prêtre ay supplie les cérémonies du baptême à une fille imbécile agée de dix ans, l’ayant ondoyé à la maison en danger de mort. Elle est née aux pays d’en haut de père ANGLO-CANADIEN et de mère SAUVAGE. Elle a été nommée ANNE par mtre Jean-Baptiste MCBEAN notaire public et GENEVIEVE PAPIN YZERHOFF ses parrain et marraine qui ont signé. SUSANNE MITIVE L’an mil huit cent quatorze le vingt six juillet par moi prêtre soussigné a été baptisée SUSANNE MATHILDE agée de huit ans née aux pays d’en haut de père ANGLO-CANADIEN et de mère SAUVAGE. Le parrain Louis Joseph GAUTHIER et la marraine FRANCOISE BERGEVIN DELIGNY ont signé. MAGDELEINE MITIVE L’an mil huit cent quatorze le vingt six juillet par moi prêtre soussigné a été baptisée MAGDELEINE agée de cinq ans née aux pays d’en haut de père ANGLO-CANADIEN et de mère SAUVAGE le parrain François KNAIGT et la marraine Marie Charles MCKAYE-JACQUES ont signé.

 

ANGELIQUE MITIVE
ANGELIQUE MITIVE L’an mil huit cent quinze le seize octobre par moi prêtre soussigné a été baptisée MARIE-ANGÉLIQUE agée de cinq ans née aux pays d’en haut et présentée par Louis FALARDEAU. Le parrain Jean-Baptiste FALARDEAU et la marraine Claire PETIT-SAVIGNAC ont déclaré ne savoir écrire ainsi que le présentateur de se enquis.
ALEXIS MITIF GENEVIEVE MITIVE
ALEXIS MITIF MCKAY Le trente et un juillet mil sept cent quatre vingt six par moy prêtre soussigné a été baptisé ALEXIS MITIF présenté par Ignace MCKAYE Voyageur qui le reconnait pour sien. Le parrain a été Jean-Baptiste PIET qui a déclaré ne savoir signer et la marraine Marguerite FORTIN femme de Joseph LECLAIR qui a signé avec le père. GENEVIEVE MITIVE MCKAYE Le trente et un juillet mil sept cent quatre vingt six par moy prêtre soussigné a été baptisé GENEVIÈVE agée de trois ans et cinq mois MITIVE présentée par Ignace MCKAYE Voyageur qui la reconnait pour la sienne. Le parraine a été Prisc (?) FERLAND et la marraine Marie-Joseph DUBORD femme de Pierre DOSTALAIRE qui ont signé avec le père.

MARIE HENRY MITIVE
L’an mil huit cent quinze le trente septembre par moi prêtre soussigné a été baptisée MARIE HENRY née aux pays d’en haut de père CANADIEN et de mère SAUVAGE au rapport de François PIET habitant de MASKINONGÉ et présentée par lui. Le Parrain Augustin NAUD et la marraine (?) GERMAIN ont déclaré ne savoir écrire ainsi que le présentateur.

Îles Dupas et du Chicot: capitale des Métis de l’Est, ou centrale de rendez-vous des Voyageurs?

Soyez indulgent avec moi pour quelques instants:  Je dois revenir en arrière avant d’aller vers l’avant.

Grâce à mes recherches, j’ai pû retrouver des preuves empiriques correspondant à l’histoire orale de la migration des première descendants issus de l’union des femmes des Premières Nations et des Colons Français précédemment racontés sur ce blog. Voici un aperçu rapide de la chronologie de évènements importants à cette histoire:

1637 – 1686: Mission jésuite de Sillery – lieu de rencontre des Atikamekw, Abénaqui, Innu et refuge des survivants du Massacre de l’Huronie.

Sillery
1670 Naissance de Louis DURAND, fils de Catherine ANENONTA, Attignawantan (clan de l’Ours) et Jean DURAND, Colon français à la mission de Sillery, Québec

Anenontha Ancestry

1690 Achat de la Seigneurie des Îles Dupas et du Chicot par Jacques BRISSET et Louis DANDONNEAU, premiers Colons français. Marguerite DANDONNEAU était à la fois soeur de Louis et épouse de Jacques:

 

1696 Louis DURAND se rend à Michilimakinac – voir plus ici: La Légende de Louis Durand un des premiers Voyageur dont l’histoire est largement documenté. Son descendant, également nommé Louis DURAND, lui-même établi dans l’Ouest, dans la province actuelle de l’Alberta – voir plus ici: Les Grands Voyages de Louis Durand

1740 Décès de Louis DURAND à Lanoraie, Lanaudière, Québec.

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Mais tout ça prouve simplement qu’une seule ancêtre autochtone, non? Ça demande sûrement un ti-peu plus pour en faire une communauté, non?

Absolument d’accord. Regardons donc d’autres femmes de Premières Nations et leurs descendants: (il y en a davantage, mais il n’existe aucun acte de marriage, ni autre preuve écrite qu’elles/ils étaient issus de communautés Autochtones)


Ci-dessous sont les communautés, dans l’ordre d’arrivé des descendants de ces femmes Autochtones: Sorel, Berthierville, Lavaltrie, Sainte-Elisabeth, Saint-Cuthbert, Saint-Norbert, Mandeville et Saint-Gabriel.


Je n’ai (encore) pu trouver preuve empirique expliquant les raisons pour lesquelles la descendance de ces femmes Autochtones sont venues à être voisins, en dépit de leurs différentes Nations Autochtones. Les actes de marriage dont un conjoint est d’une Première Nation n’indiquent pas les noms des parents non-baptisés.

Tous les registres des naissances, mariages et décès, tous les contrats et autres documents juridiques ont été rédigées par des hommes, avec et pour des hommes. Sous le Régime français, seuls les hommes pouvaient légalement effectuer ces transactions – Ce n’est qu’en 1976 que les femmes avons pleinement acquises nos droits en vertu de la Charte des droits et libertés du Québec.

En toute évidente, la position géographique des Îles Dupas et du Chicot en font d’elles l’emplacement idéal sur l’autoroute hydrographique des Voyageurs, centralisé aux quatre points cardinaux.


Mes ancêtres, Jacques BRISSET et Louis DANDONNEAU, Seigneurs Courchesne et DuSablé, semblaient attirer de nombreux descendants des Premières nations aux Îles Dupas et du Chicot, ainsi que les  îles avoisinantes de l’archipel.

Ils ont sans équivoque pû rallier Nitaskinanla terre des Atikamekw, Nistassinan – la terre des Innus, Wâbuna’ki – la terre des Abénaquis, Kanien’kehá: ka – la terre des Haudenosaunee et Waabanakiing – la terre des Anishinaabe.

Une chose est sans équivoque: en regardant mes propres Arrières Grand-Mères à moi, les Métis Lanaudois sont le résultat génétique et culturel d’un grand métissage entre les nombreuses Premières Nations et les premiers Colons.

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Je vous transmets me voeux sincères d’Amour et de Paix pour Ostara, Pâques et Pesah.

Mitakuye Oyás’iŋ.